La presse en parle "L'Amérique n'existe pas" à l'Essaïon Théâtre du 27 septembre au 26 octobre 2020

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Télérama sortir TT On aime beaucoup

C’est l’histoire d’un homme qui raconte des histoires d’autres hommes : l’un veut vérifier que la Terre est ronde, l’autre change les mots des objets, un troisième ne veut plus rien savoir… Entouré d’un amas de cartons, le comédien, seul en scène, porte la voix de tous ces personnages étranges qui, tout en livrant leurs insatisfactions, leurs incompréhensions, leurs folies, s’interrogent un beau matin sur des vérités toutes faites et, peut-être à la façon des enfants, soulèvent des questions essentielles sur leur quotidien. Adapté des Histoires enfantines de Peter Bichsel, ces récits entre voyage imaginaire et absurde, fragilité et exaltation, sont une tentative poétique de réinventer le monde.

Françoise Sabatier-Morel

La presse en parle "L'Amérique n'existe pas" à l'Essaïon Théâtre du 27 septembre au 26 octobre 2020

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Transformer le monde par le langage, quelle belle proposition ? Ces Histoires enfantines ne le sont pas tant que ça. Faussement naïves, elles invitent à rompre la glace de la conformité, à faire un pied-de-nez à notre monde normatif et à cultiver notre jardin intérieur sauvage au sein duquel chacun jouit d’une liberté inaliénable.
Un spectacle délicat, souriant, qui déploie les profondeurs du texte sans y paraître.

Guillaume van’t Hoff porte à merveille ces fantaisies poétiques qui ont l’insolence des enfants toujours en contestation de la règle pour comprendre et mettre à l’épreuve le monde qu’ils découvrent.                           

Corinne Denailles

SPECTACLES SELECTIONS la lettre des amateurs d'arts et de spectacles

Pour donner à voir cette absurdité attendrissante, Guillaume van’t Hoff brasse des phrases, des cartons, des rythmes de plus en plus hallucinés, en les éclairant du sourire de l’enfant qui contemple son propre horizon, de lui seul perçu, parce que seul l’enfant est imperméable, par nature et par poésie spontanée, à l’asphyxie du conformisme.

Annick Drogou

Le Parisien
« L’Amérique n’existe pas », plein de fantaisie
Des histoires qui s'adressent aux enfants et à la part d'enfance encore vivace chez les adultes.

V. R.

 

Un Fauteuil pour l'Orchestre   f f

Que va-t-on voir surgir de tous ces cartons ? On dirait presque ici ou là de la poussière d’étoile… Les histoires se suivent, les envies, les détails nous sont servis par Guillaume van’t Hoff, qui sait parfaitement modifier chaque demie seconde en une autre demie seconde, qui ne ressemble en rien à la précédente…

Nicolas Brizault

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Ces libertaires, asociaux, obsessionnels ou poètes, dont le dénominateur commun est sans doute la solitude, reconstruisent le monde, leur monde…

Avec son physique de gamin frêle et malicieux, endossant -et portant- tous les rôles, Guillaume van’t Hoff, comédien aguerri et empathique, s’avère, sous la direction de Dominique Lurcel, un exceptionnel conteur.

Martine Piazzon

 Théâtre du Blog

A la fois juvénile et vieillot, Guillaume van’t Hoff nous entraîne dans un univers absurde et poétique : on devine, chez les êtres imaginés, une solitude extrême, qu’ils peuplent de leurs fantaisies et de leurs rêves. Avec eux, le comédien questionne notre société normative et cherche à prendre la tangente…Il nous fait voyager pendant une heure dix, loin des rivages connus vers d’autres horizons, à la rencontre de vies minuscules et d’une humanité différente… Avec une ironie amusée et amusante .

Mireille Davidovici

CULTURE - TOPS  critique des évènements culturels

La candeur du regard, le vertige du langage. Il y a quelque chose du Petit Prince dans ces personnages bousculés dans leur idéalisme, leur pureté et leurs questionnements sur le quotidien des hommes.

Guillaume van’t Hoff  a toute l’expressivité qui convient pour incarner sur scène ces personnages lunaires. Il prend à bras le corps mais en délicatesse un texte apparemment simple qui exige en fait beaucoup de mémoire, de souplesse d’esprit et requiert une grande sensibilité.

Véronique Roland

Holybuzz Culture & Spiritualité

Car, si en filigrane se profile toujours une petite leçon de philosophie, en surface on ne se prive pas de rire. Même les adultes sont rejoints par ces questions qui, sous un aspect faussement absurde, traitent de la vie en société. Et en ces temps moroses cela fait du bien de retrouver, ne serait-ce que le moment d’un spectacle, notre âme d’enfant.

Pierre François

théatres.com

Cet ovni théâtral ouvre avec bonheur les portes de notre imaginaire. Les clins d’œil fusent et nous rappellent pêle-mêle Jacques Prévert, Jean Tardieu ou encore Henri Michaux. Ces histoires et ces récits font l’objet de mélopées compulsives et entêtantes ouvrant la voie à une salutaire remise en question. Ce spectacle aux résonnances poétiques nous entraine dans un voyage au long cours aux horizons inconnus et lointains mais sûrement en étroite connexion avec nous-mêmes !  

Laurent Schteiner

THEATRE AU VENT actualités théâtrales & littéraires

Guillaume van’t Hoff a le physique de l’emploi, mi- homme, mi-enfant, il a la grâce d’un lutin qui applaudit à toutes les folies des personnages de Peter Bichsel.

Le spectacle mis en scène par Dominique Lurcel est une véritable boite de Pandore contre l’ennui. A ne pas manquer !

Evelyne Trâ

snes fsu

Il y a dans ces histoires, imaginées par l’écrivain journaliste suisse Peter Bichsel, une fantaisie qui frôle parfois la folie par son côté obsessionnel. On pense à Michaux mais surtout à Georges Perec et à l’Oulipo. C’est à la fois drôle et vertigineux

Micheline Rousselet

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